mardi 29 novembre 2022



Un Noël en Californie 2 : Les lumières de la ville / A California Christmas : City Lights (2021)

Me suis dit que tant qu’à avoir perdu une heure trente-huit minutes de ma vie à checker le premier film, pourquoi pas me taper la suite et ainsi reconnecter avec Callie la Californienne et son beau Joe la poupée Ken grandeur nature.

 

L’intrigue : Le film se passe un an après les événements tragiques du premier film. Il s’est passé une coupe d’affaires tristes entre les deux films comme le fait que la ferme de Callie n’a pas fait assez d’argent pour payer une chimio à la maman cancéreuse. Faque, elle est morte. Et encore plus navrant, Joe a perdu le peu de masculinité qu’il lui restait et s’est rasé le chest entre les deux films. Ce n’est pas un punch… Il se criss en bedaine à vingt-six secondes après l’apparition du titre pour nous le montrer.

 

Donc, le film commence alors que Joe reçoit une mauvaise nouvelle. Sa mère, jalouse du bonheur de son fils, est partie se faire fourrer par des gigolos à la beach laissant la compagnie familiale partir à la dérive. Joe convainc alors Callie de le suivre à San Francisco pour l’aider à redresser les affaires familiales tout en choisissant ce moment vraiment opportun pour la demander en mariage. Mais arrivée en ville, Callie est confrontée à divers obstacles. De un, il y a beaucoup trop de choix de lattés dans les comptoirs à café et de deux, le passé de sybarite de Joe refait surface alors qu’elle croise toutes les ex de son fiancé qui sont toutes plus hot qu’elle. Frue, Callie décide d’aller presque se faire cruiser à la soupe populaire par un petit frisé de 157cm avec zéro sex-appeal.  

 

Rien ne va plus pour Callie et Joe. Callie déteste la ville et sa richesse pullulante et une ex jalouse et manipulatrice de Joe vient crisser la marde dans le couple en essayant de reconquérir le playboy. Callie fait sa princesse et décide de dégager à la ferme en menaçant d’annuler le mariage. Joe ne s’est plus quoi faire. Il est pris entre l’arbre et l’écorce. Sauver son empire financier ou retourner à la ferme la queue entre les jambes comme une petite bitch de service. Devinez, ce qu’il choisit de faire au nom de l’amour? Le reste du film, on s’en criss. C’est un film de Noël, donc ça finit bien pour tout le monde. Callie et Joe se marie dans un champ en s’effoirant du gâteau dans face et en buvant du vin rouge couleur Kool-Aid à la cerise. 

 

Le bon : San Francisco est une belle ville. Je suis nostalgique.

 

La brute : Il y a une scène dans le film où un travailleur migrant mexicain, portant des shorts en jeans coupés à ras le scrotum, danse lascivement devant une fillette de douze ans en jouant avec un boyau d’arrosage au ralenti.

 

Le truand : Il y a le fantôme philosophe de la maman morte de Callie qui revient en flashback pour nous prévenir que tout le monde porte un sac à dos invisible qui nous aide à supporter le poids du monde sur nos épaules. No shit! Merci madame… À cause de vous je vais me coucher un peu plus niaiseux ce soir.

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