Quatre Noël / Four Christmases (2008)

Avec une milfy Reese « Avec sa cuillère » et un Vince Vaughn avec soixante kilos de plus que dans « Célibataires en Cavale ». Faque, Reese et Vince forment un couple qui se sauvent de leurs familles respectives pendant le temps des fêtes, un désir qui m’emplit profondément d’empathie, en partant en voyage à la beach. Sauf que là, leur avion part pas à cause d’une raison bullshit et ils sont forcés d’aller réveillonner quatre fois dans la même journée, d’où le titre, parce que leurs deux sets de parents sont divorcés.

 

S’ensuit ensuite de granguignolesques péripéties avec des jokes de grosses et de lesbiennes dans lesquelles on essaie de nous faire croire lamentablement et sans succès que Reese était une boutch obèse quand elle était plus jeune. Puis, on essaie tant bien que mal de nous faire rire en prétendant que Vince est le minus de sa famille alors qu’il a deux têtes de plus que tout le monde. Naturellement, c’est un film de Noël et donc à la fin tout le monde fait la paix avec tout le monde et en apprenne sur eux-mêmes dans des leçons de vie soulignées au crayon gras.

 

Mais le grand drame du film repose dans le fait que Reese Witherspoon se fait vomir dans le bridge deux fois dans le film par des bébés et que dans aucun des cas, elle n’enlève sa chemise pour se laver. Elle qui n’était pourtant pas si avare de ses charmes en 1998 dans le film « Twilight ».