dimanche 27 novembre 2022




La Princesse de Chicago / The princess switch (2018)

L’intrigue : Une pâtissière cute avec une craque dans le menton et son assistant, un dude avec un six-pack et un sourire fake de serveur du restaurant Il Teatro, sont invités à un concours de cuisine dans un vieux pays européen full consanguins et de monde avec un balai dans le cul. Alors qu’ils arrivent au pays, la chicks rencontre par hasard une princesse d’un autre pays, qui lui ressemble comme deux goûtes d’eau, qui est supposée se marier avec le prince du pays du concours, dans un mariage arrangé sensé scellé diplomatiquement leurs deux pays de cul respectifs et ainsi créer une nouvelle lignée de tarés. 

 

Faque là, tsé, les deux filles vont échanger de place, un switch lohanesque, pendant une coup’ de jours, histoire de fuckallier la patente et de goûter à une vie qui n’est pas la leur. La pâtissière va tomber en amour avec le prince et la princesse va tomber en amour avec le dude pas rapport qui fait des cupcakes. Ben là, vous vous en doutez, ça va compliquer les choses quand elles vont vouloir reprendre leurs vies respectives. Mais, je vous assure que comme c’est un film de Noël full de bons sentiments, tout va finir bien pour la roturière et son prince charmant au tour d’oreille étrange, ainsi que pour la monarque et son gars de gym. Y’a plein d’échange de bijous et de baiser sans la langue pour tout le monde.

 

Le bon : La direction artistique s’est donnée à fond dans les cochonneries de Noël à outrance dans le décor.

 

La brute : Techniquement, c’est un film réalisé avec paresse. La 50mm pour les dialogues champs-contre-champs n’est pas toujours placée au bon endroit et le DOP oublie dans quelques plans de faire sa bulle. Les plans où on voit Vanessa Hudgens dédoublée sont toujours fixes pour ne pas avoir à faire de tracking en After Effects.

 

Le truand : Je suis jaloux du layer de fausse neige qu’ils ont rajouté en post pour les scènes extérieures. Ça a presque l’air vrai. Sauf que la production devrait venir faire un tour au Québec. Tsé quand il fait frette, il est sensé y avoir de la buée qui sort de la bouche du monde pis la neige, c’est sensé coller au linge et dans les cheveux.

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