À la mort de son père le Roi, la princesse amoureuse d’un assistant pâtissier de Chicago décide de larguer ce dernier pour retourner dans son pays européen arriéré pour assumer ses nouvelles fonctions de souveraine. La pâtissière en chef, devenu princesse de l’autre pays, décide d’aider son ancien subalterne à reconquérir sa dulcinée. Puisqu’il est déprimé depuis des mois, après s’être fait friendzoner par sa princesse, le faiseux de tartes s’est fait pousser une barbe car c’est la seule façon pour nous de comprendre qu’il est déprimé puisqu’il fait des sourires Colgate dans chacune de ses scènes. Notre homme décide donc de prendre l’avion et ça va lui prendre littéralement une scène de deux minutes pour faire son ex retomber en amour avec lui. C’est en gros la prémisse de cette suite vraiment nécessaire et essentielle de « La princesse de Chicago ».
Malheureusement pour tous ces gens importants dans nos vies, une nouvelle menace plane à l’horizon. Vanessa Hudgens, talentueuse et versatile nymphe, décide de jouer un troisième rôle de belle fille : Une cousine méchante qui ressemble parfaitement à la future Reine et à l’autre princesse et dont la seule différence est qu’elle possède des cheveux blonds et un cul bombé pour faire du twerk. Cette vilaine saligaude kidnappe la pâtissière devenue princesse qui elle-même est déguisée en la future Reine et… Blah blah blah un autre switch d’identité AW FUCK… Ça devient compliqué mais pas vraiment… Y’a une histoire de détournement de fonds aux îles Caïmans. Pis d’un pickpocket gai qui marche à reculons sur un tonneau. Ça semble awesome dit de même mais c’est vraiment de la marde. Bref, un melting pot de toutes sortes de revirement de situations aussi inintéressants les uns que les autres.
Bref, la suite est toute aussi poche que le premier film. Ma blonde a deviné l’instant précis où la neige allait se mettre à tomber dans une scène de baiser aussi dénuée de passion et aussi plaisante que moi qui s’assoit à terre pour trainer mes gosses sur un kilomètre de verre concassé.
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